Avignon - Sète

Tania est arrivée le 25/08. Elle reprendra son train à Sète, l’objectif mythique de ce périple.
Nous visitons une nouvelle fois Avignon et les environs et reprenons la navigation vers Arles via Tarascon, sous un soleil radieux. Passage facile de l’écluse de Vallebergue, dernière écluse du Rhône et arrivons a Arles.Comme toujours aucun amarrage, et nous devons rester a Arles point de rendez-vous avec Jean Dehairs, son copain et son amie qui doivent naviguer avec nous vers Aigues-Mortes sur le canal de Sète.
Heureusement que des amateurs de vieux bateaux nous prennent en pitié et nous aident à nous amarrer pres de leurs barques a la sortie de la boucle du Rhône. Il nous reste l’après-midi et le matin pour visiter la ville. Belle, intéressante et animée.
Le lendemain tout le monde est la et nous partons par le petit Rhône rivière bordée d’arbres et encaissée. Une écluse, celle de Saint-Gilles et nous voilà dans le canal du Rhône a Sète., qui traverse la Camargue et longe la mer.
On relâche à Aigues-Mortes, ou Nicolas et sa famille (fils de Tania) viennent passer un jour avec nous. Amarrage de luxe au pied des remparts, et flânerie et resto dans la vieille ville. Un monde fou, mais sur notre bateau nous dominons tout cela de haut. Il fait particulièrement chaud et les moustiques de Camargue sont au rendez-vous.
Nous repartons avec Tania vers Sète, via Montpelier et ses aménagements de la Grande Motte, et passons la nuit au pied de l’abbaye de Maguelonne. Bain de mer, une première pour Jaika qui a peur des vagues. Magnifique coucher de soleil, un calme absolu, mais les moustiques qui sortent a cette heure nous empêche de savourer l’apéro sur le pont.
Nous devons absolument passer le pont de Frontignan ce matin, il permet le passage des bateaux seulement 2 x par jour a 8 h et a 16 h. Le train de Tania est à 14 h donc obligation de partir à 5 h du matin de Maguelone et de forcer le moteur.
Juste le temps de passer ce pont, de s’amarrer, de descendre la voiture et de déguster des huîtres savoureuses au marché et Tania monte dans le train.
Je reste a Frontignan ou Jean vient me rejoindre et on continue à manger des huîtres.
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