Le premier embarquement uniquement avec le moteur fut un échec. La pente était trop forte à Peronnes.

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J’ajoute donc un treuil avec des poulies de renvoi, encore des heures de réflexion, et nouvel essai avec uniquement le treuil. Cet essai à été une catastrophe...

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Au sommet de la rampe, le châssis de la voiture bloque sur un guide du câble de treuil, je continue à treuiller, et l’attache de la voiture se rompt. Elle dégringole la pente et disparaît dans le fossé de garde du plan d’eau.

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Hilarité de Didier et de moi même et surtout de Gaston le patron de l’atelier qui a fabriqué le prototype, qui vient à la rescousse avec sa grue pour tirer la voiture du fossé.

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Donc, toujours quelqu’un au volant et treuil quand la pente est trop forte.

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J’ai toujours réussi à descendre la voiture par la suite et la remonter, en France surtout aux écluses.

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L’incident s’est terminé avec un peu de tôle froissée au hayon arrière, qui quand je navigue me rappelle cet incident.